Sujet: (M) Lou Gaillot ■By that sin fell the angels. Sam 28 Déc - 20:11
Alejandro p². Nom
ft LOU GAILLOT.
► son âge. 26 années vécues, sur-vécues - balayées par les excès et la soif, la faim, il la croque sa putain d'existence, à outrance. Et quoi, merde ? Il a le droit. ► son groupe. ici. ► son boulot. Son boulot ? Il bosse dans l'entreprise de son pater ( je n'ai pas développé, tu en fais ce que tu veux. Mais, les affaires, c'est un truc de famille, tu saisis ?) ► son caractère. Alejandro il n'aime pas la demi mesure. Alejandro c'est le sang chaud, la palabre assassine et grossière. Alejandro c'est la liberté que l'on goûte du bout des lèvres. Alejandro est possessif - agressif et il n'est pas rare qu'il se retrouve pris dans des rixes. Il vit sa vie comme s'il allait crever demain. Alejandro il est loyal, il est fidèle, ne le traite pas de chien où il te fera bouffer ta gamelle. Alejandro il a le majeur qui titille, dégainé comme le gun qu'il n'aura pas à la ceinture. Parce que mine de rien, il est peace and love. Surtout love et le séducteur en lui s'allume au passage de n'importe qu'elle conne. Alors, redescends, tu n'es pas importante. ► son histoire. Son père est entrepreneur, il est argentin et c'est de ses origines latines qu'il tire le caractère trempé qu'il possède. Ses origines qu'il aime et qu'il revendique. L'espagnol qu'il glisse dans son verbiage , de manière inattendue, abrasive. Je lui ai imaginé une vie faite de voyage à travers le monde, de rêve à portée de mains, il est fils unique. Mais, le reste, c'est toi, ton pouvoir, ta voix.
► avatar négociable ? Lou Gaillot négociable, bien sûr. Avec Alex Libby, un mec quoi. Préférence mannequin. Que dire ? Droit de veto ? ► pseudo négociable ? A part le prénom ? Hey, babe, tout. ► mot du créateur. Orthographe, conjugaison correctes. Tu comprent ? A part ça, présence respectable, c'est tout. Putain, rejoins-moi, j'ai vraiment besoin de ma couille gauche pour...no comment.
Je m’appuierai sur toi et toi sur moi… Et tout ira bien
Si Mika'îl est celui qui ne parle pas pour ne rien dire, Alejandro contrebalance. Alejandro c'est le séisme magnitude putain de forte qui est venu foutre des failles dans la carapace que le petit Mika avait construit. Premier joint, première cigarette, première tequila, première bagnole. L’autre a toujours été là, pour soutenir, pour se réjouir. Alejandro le sait, Mika’îl est le frère qu’il n’a jamais eu. Alejandro est pour Mika’îl une bouteille d’oxygène lorsque les jours l’étouffent. Lorsqu’il broie du noir, seul la présence d’Alejandro peut l’apaiser. Rien n’est malsain entre eux, ils se complètent, s’entendent à la perfection. Alejandro c’est Mika’îl, Mika’îl Alejandro et personne ne peut rien y changer. Leurs familles se sont fait une raison. S’ils s’envoient souvent bouler, c’est souvent pour mieux se revenir. Ils ne sont pas du même sang mais, ils feraient couler le leur, l’un pour l’autre, sans aucune hésitation.
Spoiler:
Si la tristesse devait avoir un visage, c’est le tien qu’elle arborerait. Ton prénom qu’elle aurait. Ces yeux, cette moue libidineuse et cette carnation scandaleuse. Si le mal devait avoir un caractère, c’est du tien qu’il s’inspirerait, il y mêlerait la cruauté à la chaleur, la méchanceté à la tendresse, il y donnerait du cœur. Un peu de cœur. Un tout petit peu de. Un peu de. De ce que tu veux. De ce que je veux. « Putain la salope » - Alejandro – fils de – fils d’un entrepreneur véreux, Argentin, se tient à ma droite, doigts aux lèvres prêt à siffler la jouvencelle qui vient de le snober alors que mon corps est animé de spasme, j’en ris, désolé : « T’as trop d’charme, Andro, elle n’a pas pu supporter »- son majeur prend forme sous mon pif alors qu’il se reçoit une talonnade de ma part, avec mes salutations le plus distinguées, l’enfoiré : « Je t’ai parlé avec politesse, fais pas ta pute » - qu’il lui crie et elle, à son grand désarroi, demeure sourde à ses suppliques. Lassé, il se tourne vers moi, cocktail en main, sirotant comme l’sale morveux qu’il a toujours été. On se connait depuis – le premier joint, au collège : « Sors la d’ta tête, Mikaka. Y’a pleins de chattes ce soir – graou » - quelle vulgarité, il n’y va pas dans la dentelle mais, à quoi bon faire semblant ? Il sait que je suis en deuil : « Merci pour l’info – grand gourou love, je note quelque part. En attendant, mon verre est vide et j’commence à m’déshydrater » - il s’éloigne et moi, moi je retourne à mes tribulations imaginaires, à la torture que ton absence m’inflige, à cette morosité légendaire. Non, non de non, je ne suis pas en manque, pas en manque de toi. Pas en manque de nous. Pas en manque du tout.
Alejandro Jiménez
◭ messages : 20 ◭ arrivé(e) le : 30/12/2013
Sujet: Re: (M) Lou Gaillot ■By that sin fell the angels. Lun 30 Déc - 22:11
j'ai comme qui dirait complétement craqué pour ton scénario. je crois que ce n'est même pas le mot juste. le personnage m'est apparu à la perfection.
Mika'îl Cole
◭ messages : 77 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: (M) Lou Gaillot ■By that sin fell the angels. Lun 30 Déc - 22:49
Et tu l'incarneras cette foutue perfection. Putain. T'es beau, t'es magique. Merci, surtout. Alejandro. Tmtc - tu poses toutes les questions qui risquent d'mettre à feu et à sang tes neurones. Tu n'hésites pas.
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incognito, t'as vu
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(M) Lou Gaillot ■By that sin fell the angels.
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