nom : jagaciak. prénom(s) : braam. âge : vingt-et-un ans. origines : hollandaises et américaines. métier/études : enchaîne les petits boulots merdiques. serveur, strip-teaser, barman, vendeur, bref il touche à tout. statut social : célibataire et coureur de jupons. avatar : bill skarsgård.



des anecdotes intéressantes à savoir : il ne croit pas en l'amour + son père le battait car sa mère était une vraie traînée, alors il préfère ne pas tomber amoureux + il est un véritable séducteur + il vit avec sa seul, avec sa sœur + il aime avoir des problèmes + c'est un gros fumeur + il aime les belles voitures, les belles filles + il déteste la facilité  un résumé de mon histoire : uc, ma fiche.

soeur : thyrza, c'est ta sœur. tu pourrais faire n'importe  quoi pour elle ; c'est la femme de ta vie, la femme de tes sourires, de tes rêves. pourtant avant, c'était pas comme ça. avant, thyrza, tu l'ignorais. tu la détestais, la méprisais parce que ton père te battait. t'étais lâche, t'étais con. tu l'as abandonné, mais elle te manquais, la petite thyrza. alors t'es revenu quand ton père est parti, quand tes soucis sont partis. maintenant, t'es proche de ta soeur. tu l'aimes ; tu l'as toujours aimé. mais il y a toujours quelque chose entre vous deux. quelque chose d'étrange, de mauvais, de plat. c'est un gouffre, un fossé, mais appelons-le un vide infini.

futur amoureuse : écrire ici le descriptif du lien.

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meilleure amie : tu pensais pas t'attacher autant à une personne. mais sheena, c'est pas juste une personne. c'est ton toi, ton reflet. vous êtes différents sur bien des points, mais au fond, vous vous rejoigniez sur tout. pis tu l'aimes, tu l'aimes ta sheena. tu veux pas lui faire de mal, c'est la seule fille à qui tu veux pas faire de mal. elle soulage tes souffrances avec ses douces paroles, avec ses doux verres d'alcool. elle est belle, sheena. mais elle est comme toi, ravagée. elle te parle, tu lui réponds. toujours gentil, toujours toi. il y a pas de masques avec sheena, c'est pas ta mascarade. c'est juste le vrai toi, le vrai braam. et elle, c'est juste la vérité. vous deux, des mots, des paroles, des promesses et vous êtes partis san s jamais vous arrêter.

briseur de cœur : t'as joué au con, tu t'es brûlé, elle  a cramé. vous étiez proches, pourtant. vous étiez vous, vous étiez beaux. ave celle, tu voyais le monde tel qu'il était, sans d'horribles nuées noires. et puis, elle a tout gâché. t'as été con, t'as été toi. elle, elle a juste été une fille. tous les mêmes, ces filles. elle t'a aimée, tu l'as pas aimée, toi. toi, t'aimais quelqu'un d'autre. une autre fille, alors t'as tout gâché. tu t'es brûlé, elle s'est brûlée et vous vous êtes envolés comme un vieux tas d'cendres. loin, et certainement pas ensemble.  

haine et amitié : tu l'aimais pas, elyzabeth. tu l'as jamais aimée, dès l'premier coup d'oeil, tu l'as pas aimée. t'as cru voir clair dans son jeu, elle te volait ton gabriel, ton meilleur ami, ta moitié. tu l’aimais pas, elyzabeth, non, vraiment pas. pourtant maintenant, tu sais pas. c'est peut-être pas une connasse finalement ; parce que ouais, gabriel est mort. il l'avait mise enceinte, l'enfoiré. il avait arrêté de te fréquenter, ce petit con. et t'avais fait le malheureux, ta victime. t'étais abandonné, ou tu voulais l'être. tu sais plus, t'as jamais su. mais maintenant, tu l'as remise en question, elyzabeth. t'es plus sûr de toi, elle est gentille ou pas, ely ? tu continues à faire ton salaud, ou pas ? tu veux pas, c'est pas ce que gabriel aurait voulu. mais il est mort. toi, t'es vivant. elyzabeth, elle est vivante. et tu l'aimais pas, elyzabeth. celle qui t'as emprunté, volé, abandonné, celle qui t'as pris ton pote.

amie : mélissandre, c'est ta bouffée d'oxygène. un sourire dans une tempête, un sourire à travers l'obscurité. elle est belle, elle est magique, elle est comme ton ancien toi. tu la voies faire la fête, tu la voies se laisser entraîner par le rythme inlassable du monde qui vous entoure, et elle a pas peur, elle. alors tu te lâches, elle t'emporte et vous êtes ensemble, au milieu de ces fêtes, au milieu des rires. à travers la tempête, elle est là. telle une lumière dorée dans ce monde argenté, elle t'illumine.

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drague : elle est belle, maxyne. belle comme la lune, belle comme une traînée d'étoiles dans le ciel. c'est magique, la vile avec maxyne. c'est amusant, c'est un défi. ton défi. elle te veut pas pourtant, maxyne. elle veut pas de toi, elle te repousse, t'attire dans ses filets et au dernier moment, elle te relâche. elle te tourne autour, tu la séduis, mais elle te devance. elle est intelligente, maxyne. elle se joue pas de toi, non. enfin, tu sais pas. elle est drôle, la petite maxyne. elle fait la fête, elle se déhanche et elle t'entraîne inconsciemment. elle est belle, elle est intelligente et elle est à toi, maxyne. elle sera à toi, bientôt, maintenant, le temps d'une nuit, d'une soirée, d'une ivresse.

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