► son âge. trente-cinq ans. ► son groupe. moonshine jungle. ► son boulot. employé de banque. ► son caractère. Lucas est quelqu’un de charmant, poli, déterminé et très obstiné. Il a aussi un tempérament plutôt colérique. Il est très protecteur et jaloux. Il a tendance à trop analyser les situations et à réagir excessivement. ► son histoire. Je ne suis pas très exigeante concernant le passé de Lucas, malgré tout, histoire de vous donner une base et que ça corresponde à mon idée que je me fais du personnage, je vais vous mettre quelques points obligatoires.
→ Mon père s'est tué au volant de sa voiture. J'avais deux ans. Il était saoul, mais ma tante a toujours dit que c'était ma mère qui le poussait à boire. On ne m'a jamais raconté ce qui s'était passé en réalité, je sais seulement que ma mère à disparu peu après et qu'elle m'a laissé à ma tante. Ce qu'elle voulait avant tout, c'était se payer du bon temps. → Depuis la semaine de mes vingt et un ans, j'ai joué aux loto. Chaque semaine, je pariais cinq dollars, pas un sous de plus. Cinq ans après j'ai gagné. Le chèque était de soixante-treize mille quatre-vingt-onze dollars. → Je connais la jeune fille depuis maintenant 10 ans, dès que je l'ai aperçu en sortant de chez elle, j'ai su que c'était elle, l'unique. → Je suis un artiste dans l'âme, un touche à tout, je joue de la guitare, du piano, chante parfois, fait de la peinture et pas mal de photographie.
► avatar négociable ? Je n'ai vraiment pas d'idées d'avatar, mais j'aime beaucoup Jack Nicholson, Christoph Waltz, Daniel Bruhl, Orlando Bloom, Alan Rickman, Ewan mcgregor. Je suis ouverte à toutes proposition. ► pseudo négociable ? Il est totalement négociable, mais j'aime les prénoms originaux. ► mot du créateur. Bonjour/bonsoir déjà si tu passes par cette page c'est que tu es intéressé et je t'aime déjà. Si le scénario t'intéresses et que tu veux rajouter quelques trucs au lien n'hésitez pas à m'en parler et si il y a une question ma boite à mp est grand ouverte, oui oui j'adore qu'on m'harcèle par mp Bref, si vous prenez se scénario je vous fait pleins de bébés
L’amour est partout, imprévisible, inexplicable, insurmontable. Il frappe quand il veut et souvent, ça fait pas mal de dégâts...
Quand elle n'était pas sur un plateau de tournage, je la voyais presque tous les jours, car sa maison était juste en face de l'annexe de la banque. De temps en temps, elle et sa soeur cadette entraient et sortaient, le plus souvent avec des gens - que je ne portais pas dans mon coeur, bien entendu. Quand je pouvais me libérer un moment de mes fichiers et de mes registres, je me mettais à la fenêtre pour regarder dans la rue, par dessus la vitre dépolie, et je l'apercevais. Le soir, je le notais dans mon carnet d'observation. Il m'est aussi arrivé de la rencontrer en ville. Un jour, en faisant la queue à la Bibliothèque, je me suis trouvé derrière elle. Elle ne m'a pas adressé un seul regard, mais, moi, j'ai examiné sa nuque et sa longue natte. Elle avait les cheveux très clairs, soyeux, des cheveux tressés en une natte unique qui lui descendait presque à la taille et qu'elle portait parfois devant, parfois derrière, ou bien en couronne. Un autre jour, un samedi de congé, j'étais allé au Muséum et je suis revenu par le même train qu'elle. Le nez dans un livre, elle était assise à trois rangs de moi, sur le coté. J'ai pu ainsi la regarder tout à mon aise pendant trente-cing minutes ... Chaque fois que je la voyais, il me semblait que je venais de découvrir un papillon d'une espèce rare, duquel il ne fallait s'approcher qu'avec des précautions extrêmes.
Un soir, j'étais comme d'habitude près de la station de métro. Au moment ou la pluie a commencé, je l'ai vue qui montait les marches.Aussitôt, elle s'est mise à courir vers l'entrée principal du métro. J'ai traversé la foule qui grouillait et je l'ai aperçu dans une cabine téléphonique. Quand elle est sortie, au lieu de prendre, comme d'habitude, la rue qui montait chez elle, elle s'est engagée dans une autre. Et brusquement, elle est partie en flèche dans une rue transversale où il y avait un cinéma. J'ai vue tout de suite que c'était l'occasion rêvée, - si personne ne venait à sa rencontre. Dès qu'elle est rentrée dans le cinéma, je suis allé voir combien de temps durait la séance. Deux heures. J'ai pris la fourgonnette pour la garer à un endroit d'où je verrais le cinéma. Elle est sortie seule, -deux heures plus tard exactement. La pluie s'était plus ou moins arrêter ; il fessait presque nuit. Je l'ai vue prendre sa route habituelle. Alors, je l'ai dépassé en voiture pour m'arrêter plus haut, au tournant de la route où elle habitait. Vide, apparemment. Il me fallait donc attendre qu'elle arrive là. J'avais préparé spécialement un sac en plastique. Il était sousu dans une poche d'imper, et j'y avais mis un mélange de chloroforme et de T.C.C, avec un tampon de gaze. Une minute s'est écoulée. Je suis sorti de la voiture et j'ai ouvert un des battants de la porte arrière. Tout allait comme sur des roulettes. Et voilà qu'elle est arrivée. Elle était à vingt mètres de moi, mais elle à pris le tournant sans me voir. Elle marchait très vite. C'est alors qu'elle est arrivée à ma hauteur, en marchant sur le trottoir. Le plus drôle, c'est qu'elle chantait toute seule. J'ai dit :« ▬ Excusez-moi, vous vous y connaisez en chiens ? » Elle s'est arrêtée, surprise : « ▬ Pourquoi ? » a-t-elle demandé. « ▬ C'est affreux, je viens juste d'en écraser un. Il a traversé tout d'un coup. Je ne sais pas quoi faire. Il n'est pas mort. » J'ai regardé à l'arrière de la voiture d'un air très embêté. Et elle : « ▬ Oh, la pauvre bête. » Puis elle est venu vers moi pour regarder. C'est ce que j'attendais. J'ai dit : « ▬ Il ne saigne pas, mais il ne bouge pas. » Quand elle s'est approchée de la porte arrière, je me suis écarté comme pour la laisser voir. Elle s'est penchée, elle voulait se rendre compte. J'ai jeté un rapide coup d’œil sur la route. Personne. Alors, je l'ai attrapée. Elle n'a pas poussé le moindre ci, elle avait l'air éberluée, j'ai pris le tampon dans ma poche et je lui ai collée en pleins dans le nez et dans la bouche. En la retenant dans mes bras, j'ai senti les émanations du mélange ; elle s'est débattue comme une diablesse, mais elle n'avait pas beaucoup de force. Brusquement, elle s'est laissée aller. Elle se serait effondrée si je ne l'avais pas retenue. Je l'ai tirée à l'intérieur, et j'ai refermé la porte. Enfin, elle était mienne.
Extrait de ma fiche:
C'est le septième soir. Je ne cesse de me dire : si seulement ils savaient, si seulement ils savaient. Faire part aux autres de mon malheur ... C'est pour cela qu'en ce moment j'essaie de me confier à ce bloc de papier, ce bloc qu'il m'a apporter ce matin, car il est pleins d'attentions pour moi. Du calme ! Tout au fond de moi, la peur grandit. Le calme n'est qu'en surface. Il ne m'a pas violentée, il n'a rien d'un obsédé sexuel, mais a des yeux de fou : des yeux gris avec une lueur grise et égarée. Au début, je le surveillais à tout instant. Je croyais qu'ils s'agissait d'obsession sexuelle et j'essayais même de le surveiller quand je lui tournais le dos, de peur qu'il ne me saute dessus. Et je tendais l'oreille car je tenais à savoir exactement à quel endroit de la pièce il se trouvait. J'aimerais connaître le judo, je pourrais l'avoir ainsi à ma merci. Cette pièce voûtée sent tellement le renfermée. On à l'impression que les murs vous écrasent. Je tends l'oreille, car j'ai peur qu'il n'arrive pendant que j'écris. Essayer, essayer, essayer de s'échapper. Rien d'autre ne m'importe. C'est étrange, mais il me fascine. J'ai pour lui le plus profond mépris, la plus grande des haines et je ne peux supporter cette cave ou il m'a enfermer; tout le monde doit être fou d'inquiétude. Je me rends compte à quel point ils doivent être affolais. Comment peut-il m'aimer ? Comment peut-on aimer quelqu'un qu'on ne connaît pas ? Il fait des efforts désespérés pour me plaire, mais c'est ainsi que doivent être les fous. Le trajet en fourgonnette pour arriver ici, ce fut un cauchemar. Ce fus un cauchemar d'avoir envie de vomir et peur d’étouffer sous le bâillon, puis de vomir et de penser qu'il aillait me traîner jusqu'à un fourré pour me violer et m’assassiner. Quand la voiture s'est arrêtée, j'ai pensé que c'était inévitable. Je crois que c'est pour cela que j'ai vomi, et pas seulement à cause de cet affreux chloroforme.
20 Octobre 2012
C'est l'après-midi. Je devrais être en classe. Le monde existe-t-il toujours ? Le soleil brille-t-il encore ? Hier soir, je me suis dit .. que j'étais morte. Cet état équivaut à la mort. Je suis en enfer. L'enfer, ce doit être la solitude totale ou la solitude à deux, avec quelqu'un comme lui. Le diable ne doit être ni diabolique, ni séduisant : il doit lui ressembler. Il est fou. A cause de moi, je suis sa folie. Pendant des années, il à chercher un exutoire à sa folie. Et il m'a trouvée. Je vais me remettre à pleurer. C'est tellement injuste ! Il faut que je lui donne un nom - je vais l'appeler Caliban. Il ne se soucie pas le moins du monde de ce que je peux dire ou ressentir. Mes sentiments n'ont pour lui aucune importance. Il m'a sous la main, cela lui suffit. Si je lui criais sans arrêt des injures, il s'en ficherait. C'est moi qu'il veut, mon apparence et non pas mes émotions, mon intelligence, mon âme, ni même vraiment mon corps. Rien d'humain. J'ai passé la plus grande partie de ma journée à réfléchir. Que va-t-il m'arriver ? Que va-t-il m'arriver ? Pas seulement maintenant, dans la situation présente, mais quand je partirai. Qu'est-ce que je ferai ? Je veux me marier, je veux avoir des enfants, je veux me prouver que tous les mariages ne sont pas obligatoirement comme celui de mon père et de ma mère. J'ai marqué les jours sur le bord du paravent, comme Robinson Crusoé. Je suis déprimée. Je n'arrive pas à dormir. Il faut, il faut que je parvienne à m'échapper. Je pâlis de jour en jour. Je me sens constamment malade et affaiblie. Ce silence est terrifiant. Cet homme est tellement inaccessible à la pitié, tellement incompréhensible ! Que veut-il ? Que va-t-il m'arriver ? Il devrait se rendre compte que je suis en train de tomber malade. Ce soir, je lui ai dit que j'avais besoin de vivre au grand jour. Je l'ai forcé à me regarder, à constater ma pâleur. Demain, demain. Il ne refuse jamais franchement. Aujourd'hui, je me suis dit qu'il allait me garder pour toujours. Ce ne sera pas long, parce que je mourrai. C'est absurde, c'est diabolique, mais je n'ai pas la possibilité de m'enfuir.
1 Décembre 2012
Je suis sortie. Je l'ai amené à me faire sortir en jouant à son bénéfice un rôle d’esclave. Je lui ai dit : « ▬ Attachez-moi les mains, mais emmenez-moi. » Il m'a attaché les mains, m'a mis le bâillon, m'a pris par le bras et nous sommes allés faire le tour du jardin. C'est vraiment un grand jardin. Il faisait très sombre, je distinguais à peine l'allée et quelques arbres. Et c'est un jardin très isolé, en pleine campagne, Dieu sait où. Tout d'un coup dans le noir, j'ai compris que, de son coté, quelque chose n'allait pas. Je ne pouvais presque pas le voir. J'ai eu peur. J'ai compris seulement qu'il voulait m'embrasser ou faire pire encore. Il a essayé de me dire qu'il était très heureux, mais il parlait d'une voix contraire, étouffée. Pendant ce tout ce temps-là, j'ai respirée le grand air. C'était bon, si bon que je n'arrive pas à trouver des mots pour le dire. Mais voilà qu'une auto est passée. Il y a donc, devant la maison, une route fréquentée par les autos. Dès que nous avons entendu le moteur, il à resserré son étreinte. Heureusement, j'avais déjà réfléchi à pareille éventualité.