Sujet: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 14:31
Briséïs Inès Waldorf
ft cara delevingne.
► ton âge. vingt-quatre ans. ► ton groupe. back to black. ► ton boulot. aucun, c'est pas comme si elle avait la nécessité de travailler. alors excepté le fait de se montrer lors des bals et autres évènements de la bonne société, on dira d'elle que c'est une socialite, une héritière. ► ta classe sociale. étant donné que son nom de famille apparait toutes les années dans le classement des plus riches de forbes, il va de soi que l'aspect financier n'a jamais été un problème chez eux. richissime, voilà. ► ton caractère. elle a bon caractère inès, généreuse toujours prête à aider autrui, douce et réservée. certes, elle est plutôt rêveuse, pourtant, elle s'affirme de plus en plus, déterminée à affronter la réalité de la vie. sensible, loyale, respectueuse, elle a de nombreuses qualités. patiente et persévérante, étant donné les dernières évènements survenus, elle est plus que prête à se montrer courageuse et cesser d'être dépendante de sa famille.
► ton pseudo. prettygirlrock. ► ton âge. vingt-et-un ans. ► scenario ou inventé ? le scénario de mad. ► un petit mot ? je vous aime.
► ce qui fait de toi quelqu'un de parfait ? Chacun a sa propre description du mot parfait. Dans le cas de Briséïs, on le lui a tellement répété au cours de son existence. Parce qu'elle était belle, parce qu'elle aidait les plus démunis, généreuse jusqu'au bout des ongles, intelligente, polie et respectueuse. Elle possédait toutes les qualités que tous espèrent retrouver chez soi, chez ses enfants... Mais Inès, elle ne s'est jamais considérée ainsi, tout simplement parce que la perfection n'existe pas, selon elle. ► que signifie le terme "amour" pour toi ? Il fut un temps où l'amour signifiait tout pour toi. Tu imaginais ça comme un conte de fée, les romances de princesse, les mariages, le plus beau sentiment au monde. Et plus tu grandissais, plus cette description ne correspondait plus aux idées que tu te faisais. Autour de toi, tu ne trouvais pas les idéaux qu'étaient les tiens. Le sexe, les infidélités primaient, rien à l'eau de rose comme tu le désirais. Et pourtant, même encore aujourd'hui, tu rêves d'un renversement de situation, l'espérance que le prince sur son cheval blanc arrivera, sachant intérieurement qu'il n'en sera jamais rien. ► tu en es où avec l'amour ? Au point plus que mort. Tu ne sais même pas si tu as déjà aimé, si tu l'as aimé ce barman de qui tu portes l'enfant. Sûrement, dans le cas contraire, tu ne te serais pas laissée embarquer si facilement. Cependant, aujourd'hui, il n'en est plus question. Bien que pourtant, par rapport à cet être dans ton ventre, tu sens un amour différent naissant, qui te donne la force d'avancer tous les matins. ► tu es plutôt fille, garçon, ou les deux ? Complètement garçons. Tu n'as jamais été attirée par une fille, et tu ne penses pas que cela arrivera. Disons que tu ne te vois pas en couple avec une femme, ce serait sûrement le coup de trop pour ta famille. Non, les garçons, ça te va très bien. ► tu l'imagines comment ton avenir affectif Étant donné la façon dont se présentent les choses, il semble bien que tu finiras dans sept mois, seule avec un enfant dans les bras. Du moins, il en semble ainsi pour le moment. Tu es tellement à côté de la plaque que tu ne sais même comment tu te débrouilleras une fois l'être présent. Excepté cela, il est hors de question de fréquenter quelqu'un d'autre, pour le moment. Tu as déjà bien à faire avec tout ce qui te tombe dessus.
imagine all the people, living for today.
briséïs, 10 ans. " cher journal, aujourd'hui, tout va bien. "
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Pauvre petite fille riche qu'elle est, Briséïs, possédant pourtant une existence que des milliers, des millions de personnes désirent. Fille unique d'une respectable famille américaine dont la renommée n'est plus à faire, elle est née à Phoenix, un jour du douze décembre quatre-vingt neuf, faisant le bonheur de ses parents et autres membres de la famille, qui ne lésinaient pas sur les cadeaux, transformant la chambre d'hôpital en salle de jouets, de peluches et de fleurs. Un joli bijou qu'elle était, avec son teint blanc, aussi blanc que la neige qui tombait à travers la fenêtre, et ses yeux bleus tournés vers le plafond, comme si elle cherchait déjà à comprendre le monde qui l'entourait. Si seulement, elle savait, si elle avait su. Pourtant, elle a eu une enfance des plus heureuses. Une immense maison, ressemblant quasiment à un château, dans laquelle elle avait droit à une aile entière. Une véritable chambre de princesse, des gouvernantes à son service, une garde-robe qui ferait rêver des tas de filles, toutes les choses qu'elle souhaitait, il lui suffisait de le prononcer. C'était Noël tous les jours de l'année. Une parole, et tac, elle l'obtenait. Sauf ses parents. Mais il fallait comprendre, ils étaient bien trop occupés avec leur travail, à organiser des soirées mondaines, à se rendre ici et là all around the world. Alors Briséïs devait se montrer sage. On lui a enseigné très tôt les bonnes manières, les façons de se comporter à table, on lui a appris à prier, on l'a baptisé. Ah ça, oui. Les Waldorf, famille catholique pratiquante, qui disposaient tous d'une Bible dans leurs chambres et qui se rendaient chaque dimanche à l'église, pour la messe. On y emmenait Inès, qui faisait ainsi l'émerveillement de toutes les autres personnes présentes, s'extasiant sur cette petite blonde angélique qui savait si bien prier et avait la foi. Inès, elle, était toujours un peu perdue dans sa robe de dentelle blanche Oscar de la Renta, parmi tous ces adultes, sans cependant en perdre son sourire, parce que comme maman répétait " les photographes seront là, il ne faut pas faire la tête, sinon tu ne seras pas jolie sur les clichés. " Elle se contentait alors de suivre ses parents, sans oser lever la voix, ni se plaindre, toujours pressée malgré tout, de rentrer à la maison. Pourtant, elle s'ennuyait souvent chez elle, toute seule dans sa chambre, regrettant ainsi de ne pas avoir de sœur, ou de frère, avec qui partager tous ses jouets. Dans ces cas, parfois, Mila sa gouvernante attitrée venait s'amuser avec elle durant quelques heures, et il n'y avait pas autre moment où elle était réellement heureuse. Puis quand vint l'âge, on l'envoya au jardin d'enfants, le meilleur de toute la ville. La gamine y voyait tous ses petits camarades venir avec leurs parents, tandis qu'elle, c'était son chauffeur qui la déposait et revenait la chercher. Et quand elle se plaignait auprès de Leanna, sa mère, celle-ci lui répondait toujours que " aucun de ses enfants n'a autant de jouets que toi mon bébé, ils ne vont pas en vacances aussi souvent que toi, ils n'ont pas tout ce que tu as " et résignée, Briséïs repartait en sens inverse, pas consolée pour autant. Mais elle a bien aimé la maternelle Inès, il y avait plein de petits comme elle, avec qui jouer pendant des heures, à faire des dessins et rire. L'enfance insouciante qui s'écoulait.
briséïs, 14 ans. " cher journal, aujourd'hui, tout va bien. "
La fortune des Waldorf n'est plus à refaire. Grâce à ses arrières grands-parents qui ont réussi à investir dans de nombreux domaines, aujourd'hui c'est à Niklas qu'il en profite. Une station d'essence, une banque, plusieurs agences immobilières dans différents pays, l'aspect financier n'a jamais été un problème. Le père de Briséïs n'en est pas devenu radin pour autant, pas de ceux qui conservent tout l'argent uniquement pour leur famille. Se décrivant lui-même dans ses discours comme " un homme du Christ, un adorateur de Dieu, qui souhaite que la paix règne sur la planète ", l'homme à l'imposante stature qu'il est à crée nombreuses associations caritatives, venant en aide aux plus démunis. Et pour être conforme à l'image renvoyée par sa famille, Briséïs a toujours apporté son soutien aux plus pauvres. Mais pas parce qu'on le lui imposait, non, mais parce qu'elle le veut. Un bon cœur qu'elle a, la petite des Waldorf, comme disaient les gens, faisant la fierté de ses parents. Inès, elle ne supportait pas de voir des enfants mourir pratiquement de faim ; alors elle œuvrait pour leur apporter de la nourriture et des vêtements, des besoins premiers. Et elle le faisait avec plaisir. Parfois, elle rêvait qu'elle se réveillerait un lendemain et que tout le monde aurait un toit et du pain. Oui, elle était utopique Inès, souvent même. Et aux côtés de sa mère, sa tante, sa grand-mère, elle se rendait aux quatre coins du monde pour la bonne cause. Elle allait prier dans des églises, distribuait des couvertures aux personnes sans domicile, donnait de l'eau et des biscuits, devant ainsi parfois délaisser l'école au profit de cours à la maison. Et elle était une brillante élève, elle résolvait des problèmes de mathématique sans difficulté, connaissait l'histoire et la science, et avait une grande facilité à retenir ce qu'on lui enseignait. Une adolescente comme en désiraient les parents du milieu social aisé. Ils ne cessaient de la complimenter lorsqu'ils l'apercevaient dans des dîners, des bals, des grandes cérémonies. Belle, intelligente, généreuse. Parfaite. Et dans ses tenues de haute couture, ses sacs et bijoux luxueux, la jeune fille qu'elle était alors dessinait un sourire sur ses lèvres roses, et les remerciait modestement, repoussant les avances des garçons un peu trop avenants. Et ils n'en manquaient pas. Avec ses cheveux blonds bouclés, ses sublimes yeux bleutés hérité de Niklas et sa taille de guêpe, elle avait tout pour plaire, Inès. Cependant, elle n'avait aucune envie de 'sortir' avec le premier venu. Elle voulait être follement amoureuse, vivre une magnifique histoire, de prince et de princesse. Et un mariage en grande pompe, surtout un mariage en grande pompe. Et à part ça, elle n'avait pas de grand projet Briséïs. Aussi, elle ne pouvait vivre sa vie d'adolescente comme ses amies, d'aller en discothèque chaque week-end, de boire et fumer comme un pompier, coucher à tout va. Impensable. Elle n'aurait pas pu, la pression familiale accumulée à sa timidité l'en empêchaient. Non, elle, elle était la fille modèle, la bonne chrétienne. Et avec succès, l'adolescente de dix-huit ans a obtenu son diplôme, marquant la fin des années lycée, lycée qu'elle n'a pas vraiment fréquenté, bien trop occupée à être trimballer d'ici à là.
briséïs, 20 ans. " cher journal, aujourd'hui, tout va bien. "
La vingtaine. Comme à chacun de ses anniversaires, Briséïs avait droit à une soirée impressionnante, à la Gatsby, où l'or et le champagne débordait, les cadeaux se comptaient par centaine, et où tout le gratin de la bonne société était invité. Les femmes coiffés en chignon, vêtues de robes Chanel et les messieurs en costume Armani défilaient, lui souhaitant tout le bonheur du monde, la santé ainsi que tous ses vœux deviennent réalité. On la contemplait avec admiration Briséïs, son visage parfaitement ciselé, sa corpulence fine, elle était époustouflante. On se battait pour avoir droit à ses faveurs, les hommes tentaient le tout pour qu'elle les remarque, mais jamais son attention n'a été capturée. Elle préférait de loin rester en compagnie de ses amies, boire des coupes de champagne coûteux, échanger des potins. Et elle n'avait jamais de surprise lorsqu'elle s'attelait à la tâche d'ouvrir ses paquets : des bijoux Tiffany en diamants, des invitations aux croisières les plus chics, des vêtements crées sur-mesure par de célèbres stylistes, des soins chez les meilleures esthéticiennes de la ville... Parfois, ça la lassait Inès, tout ça. Assise sur son lit à baldaquin, elle se demandait ce qu'aurait été une autre vie, s’entraînant dans de folles pensées, avant de se rendre compte que c'était ridicule, qu'elle possédait tout ce que tout le monde désirait : une excellente situation, l'amour de sa famille, de bonnes amies, des études de droit qu'elle entreprenait depuis deux ans, à l'université de Stanford. En effet, après son diplôme de lycée et une conversation avec Niklas et Leanna, il avait été décidé que Briséïs irait étudier à San Francisco, lui achetant une villa non loin de l'université, avec chauffeur et bonnes à disposition, évidemment. Elle passait ses vacances dans les plus belles villes du monde, Paris, Venise, Sydney... Elle n'avait donc pas de quoi se plaindre, et pourtant, lors des prières, elle se surprenait à implorer un changement dans sa vie.
briséïs, 24 ans. " cher journal, aujourd'hui, rien ne va. "
Cette année aurait pu être celle de la réussite. Se préparant pour ses examens en master de droit, Briséïs avait opté un soir de se rendre avec les amis en boîte de nuit, pour danser simplement, relâcher un peu de stress. Sa robe Gucci blanche enfilée, ses cheveux lisses détachés pour changer de son habituelle queue de cheval, et les lèvres rouges assorties à ses talons aiguilles, elle s'apprêtait à passer la meilleure soirée de son existence, ondulant au fil de la musique, laissant l'insouciance s'emparer de son corps. Et c'est lorsqu'elle prit place face au bar que la réalité reprit le dessus. Les garçons ici n'étaient certainement pas les fils des De Castellane ou des Wilson, un simple non ne suffirait pas à les faire éloigner, ne connaissant apparemment pas les bonnes manières et coutumes. Et elle en eut la preuve lors de leur acharnement à vouloir s'amuser avec elle, d'elle. Et Inès s'était sentie soudainement si impuissante, elle qui avait toujours été sous la protection de papa et maman. Alors, un autre avait repris le flambeau, le barman, derrière le comptoir qui les fit s'en aller, ce qui la soulagea aussitôt. Tenant son sac d'une main tremblante, Inès n'avait alors pas pu détacher son regard de ce dernier. Il était beau, très beau. Grand, aussi. Mais dans la mesure où il travaillait ici, la blonde en avait conclu qu'il ne devait probablement pas appartenir à sa classe. « Les gens peu fréquentables » aurait dit sa mère. Mais à cet instant, elle ne pensa pas aux paroles de ses parents, ni aux valeurs qu'on lui avait inculqué, ni à la sagesse dont elle savait si bien faire preuve. Elle était subjuguée. Littéralement. Et elle ne voulait pas partir sans l'avoir remercié, lui avait donc proposé avec un courage surprenant de le raccompagner chez lui, sa limousine l'attendant. Mais quel ne fut son étonnement lorsqu’il refusa, elle qui d'habitude ne se faisait jamais prier, celle que tout le monde désirait qu'elle leur accorde une attention particulière. Et lui, il l'envoyait se faire promener, comme ça. La ténacité faisant, Inès avait ce soir, décidé d'insister, se retrouvant bien vite devant l'appartement du barman, Mad, comme elle avait pu lire sur son badge. Vraiment, elle le trouvait... différent. Différemment parfait des autres, ne le connaissant depuis quelques minutes seulement. Mais il avait ce quelque chose d'irrésistiblement attirant, et ce soirée, encore inconsciente des conséquences, Inès ne lutta pas, s'offrant corps et âme au premier venu «, comme l'aurait vulgairement dit les bourgeois qu'elle côtoyait. Et elle n'a rien regretté de cette nuit, aussi douloureuse que plaisante soit-elle, du moins dans un premier temps. Bon, elle avait eu l'impression qu'elle était quelqu'un d'autre lorsqu'elle a ouvert les yeux dans le lit d'un autre, et puis, au fur et à mesure, avait senti la culpabilité la gagner, surtout lorsqu'elle s'était rendue à l'évidence qu'il était loin d'être le prince charmant dont elle rêvait. Sans oser en parler à qui que ce soit, la jeune femme s'était confessée, bien sûr, afin de se repentir de son pêché, d'avoir perdu sa virginité avant le mariage, et de surcroît, avec quelqu'un qui ne se souvenait probablement même plus de son nom dans les heures qui ont suivi. Pour la première fois, elle s'était sentie sale, et les nombreuses douches à la lavande qu'elle prit n'arrangèrent rien. Mais là n'était pas encore le pire.
Vomissements, maux de ventre, fatigue constante. Test de grossesse. Positif. Effondrement total.
Inès lut l'horreur et le dégoût dans les yeux de ses parents lorsqu'elle se vit forcée de leur annoncer qu'elle était enceinte de deux mois et demi. Ils ne dirent presque rien, et de toute manière, elle était bien trop secouée pour les entendre. Qu'allait dire tout le monde, eux qui croyait encore qu'elle était la septième merveille sur Terre ? Enceinte, le mot même faisait peur. Un bébé, elle avait avoir un bébé. Car de par ses croyances religieuses, discutables certes, hors de question de songer à l'avortement. Complètement attirée, Briséïs comprit que sa famille ne lui sera d'aucune aide, son père lui précisant d'une voix hésitante et emplie de désillusions, qu'il lui donnerait malgré tout, une maison dans la ville et de l'argent, le strict nécessaire, mais qu'il ne voulait plus la voir, la rejetant en somme, et qu'elle était la honte des Waldorf. Sa mère, en pleurs, se demanda ce qui avait détourné sa fille du droit chemin, et n'eut d'autre choix de se ranger à la décision de son époux. Alors, quelques jours plus tard, Inès se retrouva soudain terriblement seule dans sa nouvelle maison, et totalement perdue face aux évènements. Elle qui voulait du changement, finalement, ne souhaitait que le retour à la normale. Mais trop tard, elle ne pouvait faire disparaître la minuscule vie qui s'agitait doucement dans son ventre. Lui dire ? Ne pas lui dire ? Il ne se rappellerait sûrement plus d'elle, de toute façon, alors à quoi bon ? Après avoir manqué ses examens universitaires, Briséïs hésitait quant au fait de tout annoncer à l'homme qui l'avait mise dans cette situation, ce pétrin plus exactement. La jeune femme, après mûre réflexion, avait au final, choisi de se rendre au lieu de travail de Mad, se doutant parfaitement que tout comme ses parents, il allait être horrifié. Et ce fut bien ce qui se passa. Pourtant, bien que désemparée comme jamais, et obligée pour une fois de tout gérer par elle-même, Inès s'accrocha à ce petit être, s'y attachant bizarrement chaque fois qu'elle posait la main sur son ventre. L'amour maternel, peut-être, dans ce chaos qu'était devenue sa vie.
Dernière édition par Briséïs I. Waldorf le Ven 3 Jan - 23:32, édité 34 fois
J. Alix O'donnel
bye bye, blackbird.
◭ messages : 1663 ◭ arrivé(e) le : 26/08/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 14:33
UNE WALDOOOOORF. Bienv'nuuuuuuue chez toi, belle gosse à l'avatar de fifou, et courage pour la compétition sans vergogne qui t'attend. Une p'tite héritière aussi canon, je la voudrais en amie.
Hermès Grey
◭ messages : 38 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 14:35
ce pseudo et puis +1 avec Alix, Waldorf ce nom parfait. bienvenue parmi nous ma belle et bonne chance pour le rôle.
Sweeney Donnelly
◭ messages : 210 ◭ arrivé(e) le : 29/12/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 14:53
quel pseudo bon courage pour la compétition du scénario de mon frérot. bienvenue parmi nous, dans tous les cas.
Invité
Invité
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 15:02
bienvenue et bonne chance pour ta fiche
Briséïs I. Waldorf
◭ messages : 7 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 15:13
alix + j'adore ce prénom et leighton. merci beaucooooup ! et si j'ai le rôle, on pourra être amies.
hermès + ton pseudo et max. merci beaucoup, beaucoup !
sweeney + merci beaucoup. ton avatar est magnifique.
harry + merci énormément.
Cailin Windsor
◭ messages : 39 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 15:23
Waldorf meilleur nom de l'univers excellent choix de scénario, je l'ai stalké avant de m'inscrire et puis Cara est magnifique en tout cas bienvenue ici, bonne chance pour la compet' et pour ta fiche.
Briséïs I. Waldorf
◭ messages : 7 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 16:12
Windsor, j'adore ce nom. et zoey est trop belle ! merci beaucoup.
Invité
Invité
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 17:09
deux pour le prix d'une, sacré petit veinard. mille merci de t'être intéressée au scénario, vous êtes les meilleures. j'me lance dans les lectures de ce pas, j'ai tellement hâte.
Irja S. Laine
I accept me like I am.
◭ messages : 77 ◭ arrivé(e) le : 31/12/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 17:21
Bienvenue.
Braam Jagaciak
◭ messages : 134 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 17:30
bienvenuuue
le pseudo + l'avatar + le scénario font de toi une perfection
Invité
Invité
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 18:05
EBRUUUUUUUUUUUUUUUU ça me fait tellement plaisir de te recroiser, j'ai l'impression que ça fait des siècles qu'on a pas parlé Bienvenue ici, réserve moi un lien
Maykana Rivers
◭ messages : 348 ◭ arrivé(e) le : 31/12/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 20:56
Bienvenue parmi nous
Briséïs I. Waldorf
◭ messages : 7 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Ven 3 Jan - 22:08
mad + merci beaucoup à toi pour le scénario surtout. je pense pouvoir terminer ma fiche dans la soirée. irja + merci beaucoup. braam + oh c'est gentil, merci beaucoup ! j'adore ton pseudo et l'avatar. maja + MAUDE ! je suis trop contente de te trouver ici. merci beaucoup et avec plaisir pour le lien, évidemment! maykana + merci beaucoup, ton avatar est superbe !
Félix Korhonen
◭ messages : 92 ◭ arrivé(e) le : 29/12/2013 Age : 30
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Sam 4 Jan - 9:46
Cara et Lana del Rey, j'taime déjà Bienvenue sur cbl !
Rhett Hawtorn
◭ messages : 58 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Sam 4 Jan - 12:03
bienv'nue
Lon Lockhart
jillian — perfection has a name
◭ messages : 1267 ◭ arrivé(e) le : 22/11/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Sam 4 Jan - 12:44
so, deux fiches en compétitions et une troisième non commencée ! j'en ai parlé avec le staff, il vous faudra quand même attendre trois jours ce délai écoulé, le rôle ira au membre choisis par mad
Briséïs I. Waldorf
◭ messages : 7 ◭ arrivé(e) le : 02/01/2014
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Sam 4 Jan - 13:01
félix + mariano. merci beaucoup! rhett + merci beaucoup! lon + pas de problème, merci beaucoup!
J. Alix O'donnel
bye bye, blackbird.
◭ messages : 1663 ◭ arrivé(e) le : 26/08/2013
Sujet: Re: (briséïs) + summertime sadness. Mer 15 Jan - 23:53
Et Mad qui a été supprimé car inactif. Là, honnêtement, je ne sais même pas quoi te dire, si ce n'est que je suis sincèrement désolée, c'est la grosse loose.