lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur
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lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 17:51
lawrence seth miller
ft edward norton.
► ton âge. trente-sept ans, et l’impression d’avoir raté ma vie. ► ton groupe. back to black. L’amoureux transis. Le poète mal aimé. ► ton boulot. actuellement, je me contente de peindre. avant, j’ai travaillé pour le fbi, comme détecteur de mensonge humain mais ils ne me reprendront pas, ils m’ont prévenus à mon départ. à new-york, j’ai pu enseigner la technique de la détection de mensonge par l’analyse de « micro-expression » à des étudiants à en psychologie, c’est une piste à suivre. ► ta classe sociale. bien que le divorce ne m’ait pas coûté grand-chose, une démission brutale, le partage des biens et l’amputation du salaire d’Isobel, mon train de vie n’est plus aussi riche qu’auparavant. et le sera encore moins si je ne me décide pas à trouver un boulot. ► ton caractère. Je suis cet homme. Sophistiqué, charmant, narcissique, enjôleur, parasite, exubérant, observateur. Diablement intelligent et terriblement emmerdeur, un peu parasite dans le genre, insolent, désespérant, orgueilleux. Terriblement casse-cou et capricieux, tactile aussi avec un vrai besoin des gens pour se sentir vivant. Inconstant, mais pourtant fidèle dans son cœur, sensible, lunatique, bon enfant et puis, surtout, impertinent.
► ton pseudo. eulalie. ► ton âge. vingt années ► scenario ou inventé ? inventé. ► un petit mot ? juste pour les beaux yeux de margots
► ce qui fait de toi quelqu'un de parfait ? L’être humain n’est parfait que quand il est complet. Je ne suis pas complet. Je l’ai été mais ne le suis plus. Je ne suis pas parfait. Je l’ai été du temps d’Isobel, je me sentais entier. Plein. Aujourd’hui, c’est comme si on m’avait amputé d’une partie de moi-même. Me sentirais-je à nouveau entier un jour ? Retrouverais-je encore ma perfection d’antan ? ► que signifie le terme "amour" pour toi ? J’ai fait taire ce sentiment au fond de mon cœur. Mais je ne suis pas un professionnel pour cacher mes propres sentiments. Ainsi si amour n’est plus là, mais douleur et dépression transparaissent. Douleur est la plus affligeante. La plus pesante. J’ignorais qu’amour avait de tels compagnons. Je connaissais les difficultés, les disputes, le bonheur, le sexe, la culpabilité. Mais je ne connaissais pas douleur et dépression. Je m’en serais bien passé. ► tu en es où avec l'amour ? Je suis en froid avec amour, pour le moment on ne se parle plus trop, on ne peut plus se voir. Depuis le tour qu’Isobel m’a joué pour me quitter, je ne peux plus en entendre parler. Utiliser une de mes fameuses colères pour me faire signer les papiers du divorce, c’est d’une fourberie sans nom. Dix ans à mes côtés, elle en aura au moins retenu quelque chose. ► tu es plutôt fille, garçon, ou les deux ? La question est ridicule. Aucun homme n’a le droit d’entrer dans mon lit. Non, mais pas toi, Lon. Et même si pour le moment aucune femme ne partage ma couche, cette dernière est exclusivement réservée à la gente féminine. ► tu l'imagines comment ton avenir affectif Mon avenir affec.. quoi ? Non désolé, n’y songez pas. Je n’y songe même pas moi-même. J’ai un divorce à digérer, le départ de l’amour de ma vie à avaler. Le plus dur est l’inactivité, cet état de larve dans lequel je me trouve actuellement et qui m’empêche d’avancer, de me projeter. Mais le souci quand on se trouve si bien dans les fauteuils de son meilleur ami, c’est qu’on ne souhaite pas en sortir.
lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 17:51
Première partie.
Les liaisons dangereuses
Souvenez-vous de Lawrence, oui, souvenez-vous de moi. Souvenez-vous de mon excellence et de ma magnificence. Souvenez-vous de mon éclat. L’union de deux êtres. La perfection.
Spoiler:
« Maintenant, c’est maintenant. C’n’est pas plus tard. Pas ce soir. Pas demain. Maintenant, c’est maintenant. Là, maintenant. S’il te plait. Ne me regarde pas comme ça. Maintenant. Oui. Maintenant. Chaton… Mon cœur. Ne me fais pas ça. Regarde, regarde-moi. Allez, mon ange. Tu vois bien. Mais… ! Stop. Arrête-toi là. Attends. » Je sais qu’elle va s’arrêter et mettre un temps monstre à se retourner. Elle va encore faire quelques pas, puis elle va ralentir, s’arrêter, attendre et se retourner. J’entreprends déjà la manœuvre. Je déboutonne ma chemise, sans aucune patience. Je loupe même l’un d’eux en passant. Je le retrouve, le défais. Je la fais glisser de mes épaules et la balance au hasard dans la pièce principale de ce grand loft bien trop luxueux pour nous deux. Jamais trop disent certains. Jamais assez de place pour nos envies soudaines. Ici on l’avait la place. Je passe mon marcel par-dessus ma tête. Hop, va dire bonjour à la chemise. Passez une bonne soirée tous les deux. Elle m’entend. Je sais qu’elle m’entend. « Lawrence… » Sa voix gronde, comme une menace. Vous voyez qu’elle m’entend. Je continue. J’enlève mes souliers, me penche pour enlever mes chaussettes avant de tout repousser négligemment dans un coin. Trop d’espace. Le coin de la pièce est trop loin, mes chaussures trainent au centre de la pièce. Je sais qu’elle n’aime pas le désordre. Mais c’est maintenant. Pas plus tard. Je défais la boucle de ma ceinture, l’enlève dans un bruit de tissus et la balance sur le canapé dernière moi. Le pantalon maintenant. « Lawrence » Ah, l’orage gronde. Je continue. Je déboutonne, défait la braguette et m’extirpe tant bien que mal de ce pantalon trop serré. Quelle idée de l’avoir foutu dans le sèche-linge, voyons. Quel manque de discernement. Un peu de jugeote que Diable. Elle l’avait peut-être fait exprès. Oui. C’était tout à fait possible. Le pantalon va rejoindre les autres vêtements… Enfin peut-être, je ne regarde pas où je le lance. Pause. « Je ne me retournerais pas, Lawrence » Menteuse. Tu en meurs d’envie. C’est toujours la même chose. Depuis le commencement. On s’énerve, on se dispute, on s’insulte, tu gagnes et moi aussi d’une certaine manière. Nous avons quand même tenu 5 ans jusqu’ici, j’estimais que ce n’était pas si mal. « Tu ne me laisses pas le choix » Elle se crispe. Je grimace, faussement ennuyé. Puis j’enlève mon caleçon. Me retrouvant nu, derrière elle. « Tu peux te retourner, je ne suis pas pudique » Elle ne bougea pas. J’arrête de plaisanter. Mon visage devient sérieux, ma voix plus grave : « Maintenant, c’est maintenant. Pas demain » Elle courbe l’échine. Gagné. Elle finit par se retourner. Elle me regarde droit dans les yeux, évitant soigneusement mon érection évidente à présent. Elle me toise. C’est vrai, face à toi, je ne suis pas grand-chose. Un être encore plus misérable. « Qu’est-ce qui m’a pris de t’avoir dit oui ce jour-là ? » Ce jour-là, ce que j’avais pu être casse-couille. Pour pas changer. Je venais de réussir à faire coffrer un type pour faux témoignage, l’excitation de la réussite, le plaisir ressenti après une nuit passé en compagnie de cette... charmante créature. Bonne question, qu’est-ce qui m’avait pris ce jour-là ? Et à elle ? Pour avoir accepté ? Je fais un pas vers elle, puis deux, puis la rejoins. « La promesse d’argent, de beaucoup d’argent, le sexe aussi, l’exclusivité et peut-être l’amour ? » J’ai besoin d’être constamment rassuré. Je suis énervant avec ça. Même si je le demande de façon détournée, c’est être rassuré que je demande. Parce que je ne lui facilite pas la vie. Mais si elle finissait par ne plus m’aimer, je ne sais pas ce que je ferais. Ça pourrait arriver, les gens s’aiment puis se haïssent, c’est si vite arriver. Je ne veux pas que ça arrive. Elle me regarde, sans ciller. Hautaine. Joueuse. « L’amour ? Tu crois ça ? » Je souris, l’enlace et la ramène contre moi, bas ventre contre le mien, qu’elle sente bien que pour moi, c’était maintenant. « J’espère, ma chère, j’espère » Et là elle se hisse jusqu’à mon visage, faisant glisser le tissu de sa robe sur… Oulala. Elle trouve mes lèvres, ses mains trouvent ma nuque, sa jambe tente de grimper sur ma hanche. Je lui réponds avec fureur, la même que l’on avait dégagée tout à l’heure sur cette putain de question à la con. Mais cette fois-ci, la fureur était dirigée vers quelque chose de plus constructif que le risque d’un vase brisé contre un mur. Un gémissement s’échappe de sa bouche auquel je répondis en grondant et la suite… Ce ne sont pas vos affaires.
Deuxième partie.
Les gens heureux lisent et boivent du café
Et puis regardez-moi. Regardez les dégâts. Les lambeaux de moi. Décadence. Désillusion. La chute d’Icare s’étant approché trop près du soleil. Isobel. Quand le nous n’existe plus.
Spoiler:
Nos lèvres se cherchent, se trouvent. Ma main glisse dans ses cheveux quand l’autre la ramène contre moi. Rien que de sentir ses formes contre moi, je sens la chaleur fourmiller dans toute mon anatomie. Je sens sa main remonter jusqu’à ma nuque, timide. Non pas timide… Hésitante. Pourquoi hésitante ? C’est là que je me rends compte que je ne suis pas le seul à être raide. Ce n’est pas nos lèvres, ce n’est pas nos baisers, ni notre étreinte. Mais mes lèvres, mon baiser, mes mains. Sa bouche grimace sous la mienne et son corps reste fixe contre le mien. Une autre chaleur grimpe, un grognement monte du fond de ma gorge et je la repousse brutalement. « Quoi encore, bordel ?! Qu’est-ce que j’ai fait ! » Elle me jette un regard rempli de dédain et de mépris. Comment en est-elle arrivée à me regarder comme ça ? Comment en sommes-nous arrivés à ne plus pouvoir nous toucher ? « Comment as-tu pu me cacher ta relation avec Quinn » Je la regarde, interdit. Puis deviens méprisant. « Tu es pathétique Isobel, te cacher derrière une histoire ancienne pour nous foutre en l’air. » « Bordel Lawrence, tu m’as épousé peu après avoir rompu avec elle ! » Et la dispute reprend de plus belle. « Nous avons déjà eu cette discussion. » La semaine dernière en effet, je lui avais balancé mon histoire avec Quinn Saint-Germain peu avant que je ne la rencontre, il y a dix ans. Ainsi Quinn ne se contentait pas d’être ma première fois, ma meilleure amie et la raison de notre départ de Phoenix, elle était également une ex. Une véritable ex-petite amie. Enfin, appelez ça comme vous voulez. Le ton monte. Je vois Isobel se cacher derrière mon amie pour me fuir, pour s’éloigner de moi. Je sais que Quinn n’est qu’un prétexte pourtant je ne lui dis pas. Je sais que ce n’est pas vraiment elle le noyau de nos disputes. C’est nous. C’est elle, c’est moi. Je la vois se débattre avec notre quotidien, de plus en plus morne, de plus en plus difficile à vivre. Depuis qu’on a quitté Phoenix, il y a presqu’un an. C’est pire. Nous avons perdu nos repères, notre cercle d’amis. Nous nous sommes enfermés sur nous-mêmes et je crois qu’elle a commencé à me détester plus qu’elle ne m’aime. Je le sais et pourtant je m’esquinte à la prendre dans mes bras, à l’embrasser. Parce que quand on ne se dispute pas, cette femme, je l’aime. J’aime son sourire, son regard hautain, la force de son caractère, je connais chaque courbe de son corps et je me plais à les redécouvrir à chaque fois que j’en ai l’occasion. Mais l’occasion, on n’en a plus beaucoup. « Putain Isobel, ça fait deux semaines qu’on n’a plus baisé ! » Le tact. Elle s’offusque. Puis plante son regard dans le mien, implacable. « Que TOI, tu n’as plus baisé. » Bam. Je chancelle. « Tu mens ! » Je détaille son visage, cherche les signes de mensonges. « Bien sûr que je mens, Lawrence. Ce que t’es con ! » Tout n’est plus qu’une question de piques, à celui qui fera le plus de mal à l’autre et tous les coups sont permis. Que le meilleur gagne. « Tu me fais pitié, chérie. » « Ravie de l’entendre, chaton. Tiens, signe ça. » Elle pose un papier sur la table, avec humeur je l’attrape, le regarde sans le voir. « C’est quoi ça ? » « Les papiers du divorce. » « Sérieusement Isobel ?! » « Quoi ? Ca ne te plairait pas d’être enfin débarrassé de moi ? » « C’est définitif un truc pareil. » « Chiche » Elle plante son regard dans le mien et me met au défi. Au fond de ses yeux je ne vois que son mépris et son dégoût pour moi, c’est presque trop, presque chiqué tellement ça déborde. Ainsi un simple regard est capable de vous transmettre les pires maux mieux que quelques mots. Et sans doute est-ce par défi et par colère, mais je me saisis du stylo qu’elle me tendait avec cette moue dédaigneuse. J’ai signé les papiers du divorce, sans réfléchir plus loin. Juste parce qu’elle me défiait. « Yes ! Finis de voir ta sale gueule tous les matins » Elle semble heureuse tout d’un coup, cela me met hors de moi. « Parce que tu crois que la tienne est plus fraîche ? Ma pauvre vieille, t’as plus trente ans. » Elle s’arrête net dans son élan de joie. Son âge lui a toujours posé problème. La gifle que je me prends, je la vois venir, mais ne l’arrête pas. Le ton continue de grimper, prend une telle ampleur que j’en oublie ce que je viens de faire avec ce stylo et ce bout de papier. « J’dors à l’hôtel cette nuit. » « Fiche-le camp Lawrence ! » Elle hurle, elle pleure. Ses larmes me déchirent les oreilles et je ne les comprends pas. Je ne comprends pas sur le moment. Elle me balance mon téléphone, mes clés de voiture et mon portefeuille à la gueule et me claque la porte sans un mot dire. Et alors que plus tard, je m’effondre sur le lit d’une chambre d’un hôtel deux étoiles une bouteille de whisky à la main levant mon verre à un ami cher, Isobel, elle, ne perd pas son temps.
Le lendemain, débraillé, la tête dans un brouillard des plus épais, j’entre dans l’immeuble de notre appartement. « Vous avez oublié quelque chose monsieur Miller ? Venez, je vais vous ouvrir. » Je regarde la concierge sans comprendre, hagard. « Euh… Ca ira, merci j’ai ma clé » Elle hoche la tête. « N’oubliez pas de me la remettre en sortant. » Et elle disparait. La lui remettre en sortant ? Interdit, je reste planté dans le couloir genre vingt, trente secondes. Les plus longues de ma vie. Avant de me souvenir. Les papiers. « Lawrence ! » Personne ne m’interpelle, je vocifère mon prénom à la manière d’une remontrance. Je crois que je n’avais jamais pris les escaliers pour monter jusqu’à mon appartement. Quelle idée d’avoir choisi le quatrième étage. Les clés dans la serrure ne rentrent pas évidemment, non, mes mains tremblent. Elles tombent une fois, deux fois mais je les attrape avant qu’elles ne touchent le sol. La troisième fois est la bonne, et j’enfonce la porte de chez nous… Sauf que ce n’est plus vraiment chez nous. La porte claque contre le mur, elle ne devrait pas. Il y avait un meuble contre ce mur. Mais à l’évidence, il n’y a plus rien ici. Plus rien du tout. Enfin si, par terre il reste une enveloppe. La preuve que j’ai signé ce putain de papier de divorce, l’original est entre ses mains, au cas où j’aurais voulu m’en prendre à ce bout de papier. Un petit mot m’expliquant qu’elle était obligée de procédé ainsi, que sinon, je ne serais jamais parti. C’est vrai, sans ça, je ne serais jamais parti. Jamais. Jamais avec l’esprit clair, je n’aurais signé un tel papier. Et jamais, au grand jamais, je ne l’aurais laissé partir si elle n’était pas partie en douce comme elle l’a fait. Comment a-t-elle pu ?!
J’ai émergé dans une chambre miteuse d’un hôtel dont le nom même ne me disait rien, dans les effluves nauséabonds d’alcools bas de gamme, de cigarettes bon marché, seul le cannabis semble être de bonne qualité. Il reste des traces de poudres sur la table basse, des canettes de bière sur le sol et une femme rousse dans mon lit. La tête bourdonne, un train passe non loin et le bruit me vrille le crâne me faisant me tordre sur le lit en gémissant. Bordel Lawrence, t’as plus vingt ans ! En rampant, je glisse vers la table basse, l’inconnue remue mais ne se réveille pas. Bien, au moins elle est vivante. Becky... Becky Lynn, je pense ? Je tente de me redresser pour attraper le téléphone, un vertige me prend et je passe à deux doigts de la nausée. Bordel de merde. Je finis par avoir le téléphone et réussis à composer le numéro de mémoire.
« Lon.. » « Lawrence ? » « Je crois que j’ai un problème. »
J. Alix O'donnel
bye bye, blackbird.
◭ messages : 1663 ◭ arrivé(e) le : 26/08/2013
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 19:24
Inutile de te souhaiter la bienvenue hein.
lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 19:27
Je n'en attendais pas moins de toi.
Sheena T. Jackson
◭ messages : 1772 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 19:31
OH LAWRENCE. Tu me vends du rêve...
lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 21:04
ma douce Sheena, toujours là pour tes fantasmes
Maykana Rivers
◭ messages : 348 ◭ arrivé(e) le : 31/12/2013
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 21:58
Re-bienvenue
lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Ven 17 Jan - 21:59
Merci May'
Lon Lockhart
jillian — perfection has a name
◭ messages : 1267 ◭ arrivé(e) le : 22/11/2013
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Sam 18 Jan - 1:38
toi, j'te prends, j'te retourne et j'te !! JE SUIS CONTEEEEEEEEEEEEEENTE !
et putain ! putain de putain de putain (oui, j'ai une bouche sale et j'vous ), tu viens de me vendre un putain de délire ! ta fiche ? c'est d'la bombe atomique !! ton lawi là, le brisé, le déchet, le chômeur, le gros squatteur qui va m'tirer mon fauteuil favori (quoooi ? tu croyais quand même pas que j'allais être gentille avec toi dans cette montagne de compliments que j'prends un plaisir de t'écrire ? ), ouais ouais, ce lawi là, la nouvelle belle gueule, et ben je l'ai kiffé ! il est tellement... fidèle au précédent et pourtant tellement... différent avec ce petit quelque chose qui a déserté son existence franchement, j'adore et j'adhère complètement !
Citation :
Je suis en froid avec amour, pour le moment on ne se parle plus trop, on ne peut plus se voir.
j'ai lu ça, j'ai fondu. littéralement. c'est tellement bien tourné, tellement épique, tellement lawi et finalement tellement toi ! j'imaginais pas que ce p'tit homme m'avait manqué autant
Citation :
La question est ridicule. Aucun homme n’a le droit d’entrer dans mon lit. Non, mais pas toi, Lon.
tu m'kiffes, hein ? ouais ouais, ne le nie pas t'façon ton lit t'en a pas, t'sais. t'auras mon canap' et qu'on soit clair : interdiction formel d'y inviter une nana, ou un mec ou même le clébart du voisin du d'ssous ! tu ml'abime, j'te jure que tu vas raquer pour rembourser (ça va être cooool sinon la coloc', t'inquiète ! )
et sinon, ton histoire. quelle histoire ! j'ai purement et simplement adoré ta façon de tourner les choses, de les dire ou même tout simplement de les penser j'ai été tenu en haleine tout le long -en mode impossible de décrocher et merde, tes idées ! toi et tes putains d'idées, tes exemples, tes détails, tous ces petits précisions à la con auxquelles on pense jamais, tout ça... ça fait du bien, ça fait aimer, ça fait sourire... ça t'colle un putain de smile sur la gueule pendant dix bonnes minutes... jusqu'à ce que tu vois que ben merde, c'est finis ! la suite au prochain épisode, comme on dit ! j'ai de la chance : je suis installée au premier rang pour y assister
ah et euh j'oublais ! J'TE VALIIIIIIDE !
lawrence s. miller
◭ messages : 63 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur Sam 18 Jan - 10:21
maintenant j'ai envie de me cacher, parce que j'étais fière, mais je m'attendais pas à de telles effusions de ta part bien sûr que j'te kiffe mon lon, quoi que je puisse vouloir faire croire
et puis ... ON VA COLLOQUER COMME QUAND ON ETAIT GOSSE
J'entends Alix hurler de joie jusqu'ici.
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Sujet: Re: lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur
lawrence ✢ ne te jette pas dans les bras de ton cœur