(m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe.
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Zephyr St.-James
caring is not an advantage
◭ messages : 57 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: (m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe. Lun 20 Jan - 14:27
louis raphaël mathieu (propositions)
ft martin freeman
► son âge. entre trente-trois et trente-huit ans. ► son groupe. je dirais a cottage for sale. ça me semble le plus cohérent. après, si vous voulez quelque chose d'autre en cohérence avec ce qu'il est, cela me va aussi. ► son boulot. professeur de théâtre et comédien. ► son caractère. c’est une personne excessivement douce et gentille, très à l’écoute et de bons conseils. il est passionné par son métier, cela se sent, et de toute manière il ne cherche aucunement à cacher que sa carrière est le trois quarts de sa vie. c’est aussi un séducteur, mais non pas un dragueur invétéré, c’est plus quelqu’un qui séduit dans les règles de l’art, avec beaucoup d’élégance. au premier abord, il est assez difficile de déceler des défauts chez lui, mais une fois qu’on le connaît on s’aperçoit qu’il peut être extrêmement puéril, au sens qu’il est très mauvais perdant – et par conséquent parfois un peu rancunier –, mais aussi qu’il peut être lâche et passif. (ce n’est qu’une base, bien sûr, après c’est à vous de développer) ► son histoire. c’est libre. ce qui m’intéresse est ce qu’il est aujourd’hui. cependant, je le vois bien débarquer d’une classe pas riche riche, avec plein de grandes sœurs, et avoir toujours été passionné de théâtre, à en faire chier sa famille.
► avatar négociable ? mmmh, c’est un peu le seul point où je serai intransigeant. donc non, pas négociable. ► pseudo négociable ? tutafé. je n'ai mis aucun nom de famille, et les prénoms ne sont que des propositions (après j'avoue bien les aimer, évidemment). je voudrais seulement quelque chose de français, et de pas trop compliqué. ► mot du créateur.Chaluuuuute, petit invité chéri qui passe par là. Ce scénario est très cher à mes yeux. Déjà, parce qu'il est essentiel à l'histoire de mon petit Zephyr - comme beaucoup d'autres vous me direz ahah -, aussi parce que j'adore ce personnage - non je ne suis pas narcissique -, mais aussi parce qu'en réalité ce scénario et la relation des deux sont basés sur un rêve que j'ai eu. Anyway. Beaucoup de choses sont négociables : le pseudo, l'histoire, et la grosse majeure partie du caractère. Après j'aimerais seulement que vous gardiez le boulot - puisqu'assez nécessaire - et le fait qu'il soit français. Parce que c'est un peu la classe à la française, t'ayu ? Bien sur le lien n'est pas négociable, étant le noyau du scénario et de Zephou. Sinooooon, niveau présence je suis pas exigeant, juste que vous répondiez aux rps genre une fois par semaine, et que vous vous teniez au courant des nouveautés du forum. Niveau écriture non plus, tant que c'est fluide, joli, sans trop de faute. En général, j'écris beaucoup plus que moi-même je m'y attends, mais je m'en fous, t'ayu ? Tant qu'on s'éclate itout, tu peux écrire moins ! Et si vous le prenez, je vous aimerai jusqu'à la vie et à la mort. Pour toutes questions je suis disponible.
just the two of us against the rest of the world
ZEPHYR ST.-JAMES Je me souviens de la première fois que j’ai posé le regard sur lui. J’aurais voulu parler de rencontre, mais ce ne serait pas totalement vrai, dans le sens que c’était une rencontre à un sens seulement unilatéral. Pour tous, il était un mec on ne peut plus banal, se détachant de la foule seulement parce qu’il serait leur professeur de théâtre pendant une année entière. Pour moi, il était déjà exceptionnel. Je me rappelle avoir pensé qu’il était mon ange descendu du paradis sur Terre, pour enfin m’apporter la lumière. C’est très cliché et très religieux – je me suis baffé après avoir eu cette pensée –, mais il était l’apparition même des mes attentes, de mes espoirs, dont je n’avais même pas conscience. Passionné de comédie, ne jamais abandonner son rêve, cela avait toujours été le cas, mais il a été mon véritable déclic. Jamais je n’avais vu un tel génie dans son domaine. Oui, on peut réellement parler de coup de cœur, jusqu’à un certain point.
L’admiration n’était, au début du moins, strictement que sur un plan professionnel. Il était toujours tout ce que j’avais recherché en comédie, il m’était parfait. Puis on a appris à se connaître, malheureusement. Il a très vite remarqué que j’étais bien plus intéressé que tous ses autres élèves – ce n’est pas pour rien que je reprends théâtre comme spécialité à chaque semestre depuis trois ans –, alors il s’est aussi intéressé à moi. Il m’a donné des conseils, on a commencé à, parfois, déjeuner ensemble, il m’a même proposé des rôles dans certaines de ses pièces. Et, lors d’une nuit agitée et un peu trop chaude, je me suis réveillé en sursaut, et alors que les bribes de mon rêve érotique se dissipaient, cela a été la réalisation : je me voilais la face depuis trop longtemps, je suis amoureux de cet homme depuis la première fois. Pathétiquement, cela a été un choc. Je n’étais pas si surpris, et pourtant je venais de me prendre une magistrale baffe dans la figure. Évidemment, l’admiration pour son talent était aussi passée à de la tendresse sur un plan plus personnel, lorsque j’ai appris à mieux le connaître. Mais cela me paraissait normal, cet homme était la gentillesse et l’intelligence même. Seulement, maintenant que j’y pensais, vraiment sans m’enfoncer dans un certain déni, je savais qu’en réalité je me donnais juste des raisons de plus pour pouvoir l’aimer sans retenue.
Etonnamment, cela ne m’a pas détruit tout de suite. J’arrivais totalement à vivre avec. Je continuais à suivre son cours, à le voir en dehors, travailler avec lui, et j’en étais toujours aussi joyeux, si on oubliait un légèrement pincement au cœur de même. De toute manière, j’avais accepté le fait qu’une fois de plus toute cette histoire serait vaine et sans lendemain, sans aucun retour, rien. Il était connu de quasiment tous – pour ceux qui s’y intéressaient du moins – qu’il avait une fiancée. Une fiancée… Pas seulement une petite amie, non, une fiancée. Parfois je me plais même à croire que c’est pire qu’une femme. Bref. Et, à preuve du contraire, il paraissait totalement hétérosexuel. Voilà. Je n’étais pas non plus un gamin totalement dans le déni, et j’étais résigné. Quand j’y repense, peut-être que tout aurait été plus simple comme cela.
Tout a dérapé – il fallait bien que cela arrive à un moment – un soir de bal de promo. Si vous voulez plus de précision chronologiquement, voilà un an et demi qu’on se connaissait, c’est-à-dire j’étais arrivé en Arizona, et quelques mois que je m’étais rendu compte que je voulais passer le reste de ma vie dans ses bras – pour ne pas tomber dans un cliché romantique et mélodramatique. Professeurs et étudiants y étaient conviés, et lui comme moi n’avions pas manqué à l’appel. C’est marrant, parce que lorsque j’essaie de me rappeler de cette soirée, je me la remémore comme une soirée chiante au possible, alors que j’ai passé un excellent moment. Bien sûr, cette nuit s’est résumée à bavarder avec lui – mes potes m’ont en voulu, par ailleurs, après. Et, ne me demandez pas comment, sûrement à cause de l’alcool, on a fini par coucher ensemble. Oui oui, on continue dans le cliché. Parfois, j’ai l’impression que ma vie est un mauvais film. Encore, cela aurait pu ne pas être si dramatique, j’aurais pu faire mon « deuil » - oui je me permets des fantaisies – et oublier cette partie-là de ma vie quelques semaines après. Oui, parce que je pensais dur comme fer qu’il voulait juste s’amuser… Cependant, le lendemain il est venu me parler, et même s’il ne me l’a pas dit explicitement, même si on n’a jamais reparlé de cette nuit, même si on racontait seulement des conneries, il m’a paru alors très clair que je lui plaisais également. Bon Dieu, mais qu’est-ce qu’il foutait alors ? C’est là que j’ai compris, en voyant au loin sa fiancée qui nous regardait… les larmes aux yeux. Elle est partie en courant, et lui à sa suite, me plantant avec seulement un petit mot d’excuse.
J’appris plus tard qu’elle avait failli faire une tentative de suicide, ayant malicieusement deviné que quelque chose se passer entre lui et moi. Celui-ci lui a bien sûr tout démenti, et que jamais il ne la quitterait. Oui, c’est bien à ce moment que j’appris qu’elle était dépressive, et qu’il ne pouvait pas la quitter sans qu’il y ait des risques qu’elle se tue. VDM.
extrait de ma fiche:
Une clope coincée entre les fines lèvres de sa bouche – c’est un homme, après tout, cela ne pouvait être nulle part ailleurs –, il gratouillait sur sa guitare acoustique en attendant le prochain cours. Originalement bassiste, il bidouillait un petit blues sans vraiment réfléchir à ce qu’il faisait. Ses pensées divaguaient sans qu’il n’ait aucun contrôle dessus, et c’était cela qu’il appréciait particulièrement, toutefois celles-ci, bien qu’initialement diverses, se rejoignaient toutes sur un même point qui le rendait fou : le cours qui allait suivre. Il adorait ce cours, non pas seulement parce qu’elle était étroitement liée avec sa passion de la comédie, raison pour laquelle il avait choisi théâtre comme option restons logiques, mais aussi parce que le professeur qui enseignait, et animait à la fois, cet atelier était fantastique. Malheureusement, c’était bien cette belle tête blonde qui hantait ses pensées, jours et nuits, sans relâche, mais encore plus avec d’intensité quand il y avait une promesse de le voir. Son cœur rata un battement, une corde ripa, et un coup de vent emporta son fidèle chapeau qui commençait réellement à être un peu défoncé tel celui de Charlie Winston. Agile et vif – en réalité il avait l’habitude de courir après cet accessoire malicieux –, il empoigna son instrument par le manche et sauta de son perchoir, en espérant que Mika – oui, il donne des noms aux objets auxquels il tient beaucoup – ne se soit pas barré trop loin. Les yeux rivés par terre, comme si ce dernier était microscopique, il ne releva la tête que lorsqu’une paire de jambes qui se finissaient dans des chaussures dépareillées, qu’il reconnaitrait entre mille, lui bloquèrent le chemin. Il déglutit. Évidemment, IL lui avait ramassé Mika. Instinctivement, il planta son regard noisette dans celui azuré de son professeur. Celui-ci lui adressa un sourire timide et extrêmement gêné, alors les yeux de Zephyr tombèrent malgré lui sur ces lèvres tentatrices. Un flash de LA soirée prit place dans son esprit, tremblant il arracha son chapeau et partit en courant. Il ne pouvait pas lui faire face. Il ne pouvait plus. C’était trop. Voilà trois fois en quatre semaines qu’il séchait son cours. Mais il ne pouvait pas faire autrement.
LENNON HODGKINS meilleur ami. à développer avec le joueur.
Louis R. Mathieu
◭ messages : 3 ◭ arrivé(e) le : 23/01/2014 Age : 28
Sujet: Re: (m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe. Jeu 23 Jan - 13:35
hormis le fait que j'ai complètement craqué sur le scénario, je meurs.
Zephyr St.-James
caring is not an advantage
◭ messages : 57 ◭ arrivé(e) le : 17/01/2014
Sujet: Re: (m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe. Jeu 23 Jan - 15:43
C'EST MOI QUI MEURS. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Merci. Et encore merci de l'avoir pris. Si jamais tu as des questions, je suisn bien entendu, à ta disposition. Même si tu n'as pas de questions, en fait.
Lennon A. Hodgkins
◭ messages : 39 ◭ arrivé(e) le : 19/01/2014
Sujet: Re: (m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe. Jeu 23 Jan - 20:15
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Sujet: Re: (m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe.
(m) martin freeman ∆ 'cause all i need is the love you breathe.