Sujet: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:23
ce qui fait de toi quelqu'un de parfait ∆ Tu n'es pas parfaite. Malgré ton beau visage, malgré tes yeux bleus, tu n'es plus qu'une enveloppe vide. Aucune réaction, aucun désir, comme morte. Ton esprit se jette contre les parois de ta boîte crânienne, tente d'échapper à la folie qui gagne peu à peu ton coeur, rongé par les vers grouillants du chagrin. Tu sais que tu n'es rien, plus rien, plus qu'une fille qui marche, respire, mange et dort sans conscience. Tu te tords de douleur en solitaire, rassemblant du mieux que tu peux les fragments de ton corps brisé, passé sous les roues d'un train de marchandises.
que signifie le terme « amour » pour toi ∆ Avant, tu vivais l'amour comme un bonheur quotidien, la chance de partager ta vie avec la femme que tu aimais de tout ton coeur, de toute ton âme, du plus profond de ton être. Aujourd'hui, tu vis l'amour comme un supplice, une torture constante. Amoureuse transie, reléguée au second plan, tu subis plus que tu ne vis cet amour qui t'emporte dans une valse endiablée à chaque instant, dès que tu ouvres l'oeil en te réveillant, jusqu'à ce que tu t'endormes, exténuée, le soir. Alors bien sûr, l'amour est beau, l'amour est enivrant, étourdissant, mais l'amour est aussi inquiétant, destructeur qu'un feu de broussaille, qui ravage tout sur son passage, jusqu'à ce qu'il ne reste rien dont il puisse se sustenter.
tu en es où avec l'amour ∆ Tu refuses d'en entendre parler à nouveau. Rien ni personne ne te touche. La beauté du sentiment t'échappe complètement, s'enfuie, glisse entre tes doigts-brindilles et morts. Le mot même passe sur toi comme une caresse, une brise légère que tu ne sentirais pas. Tu n'attends même plus d'aimer ou d'être aimée. Laissée-pour-compte de l'amour, tu n'as plus guère de place pour ce sentiment, trop habitée par ton propre chagrin.
tu es plutôt filles, garçons ou les deux ∆ Tu es tout autant attirée par les hommes que par les femmes, sans nette préférence pour l'un ou pour l'autre. Tu trouves autant d'avantages que d'inconvénients à sortir avec l'une ou l'autre des deux gentes. Bien sûr, il y a certaines choses que tu aimes plus particulièrement chez les femmes ; la douceur de leurs lèvres, le toucher soyeux de leurs cheveux. Mais tu aimes tout autant la force puissante des bras masculins qui t'entourent, te protègent. Il n'y a pas de juste milieu, aussi, tu te refuses à trancher en faveur de l'un ou de l'autre.
tu l'imagines comment ton avenir affectif ∆ Oh, tu aimerais tellement qu'elle te revienne, que vous vous retrouviez, comme avant, comme au temps béni où vous vous aimiez sans obstacles, sans embûches sur votre chemin. Elle te manque, comme jamais rien ni personne ne t'a manqué, elle te manque comme si on t'avait arraché le coeur. Tu vendrais père et mère, frère et soeur, tu vendrais ta famille tout entière pour qu'elle te revienne à nouveau. Parce que rien ne compte plus que Dylan, rien ne compte plus que sa beauté meurtrie, écorchée vive.
ton âge ∆ vingt-quatre ans. ton groupe ∆ a cottage for sale. ton boulot ∆ étudiante en littérature anglaise la majeure partie du temps. ça paye pas, dans l'immédiat, alors elle gagne sa vie avec des petits boulots à droite et à gauche, de serveuse à caissière. ta classe sociale ∆ modeste. pas tout à fait fille des rues, enfant du trottoir, mais pas complètement pourrie gâtée par la société, tu flottes entre deux mondes, ni trop riche ni assez pauvre. ton caractère ∆ Petite chose douce, naïve, tu n'es guère dangereuse. Il faut peu de choses pour te faire vaciller, mais tu t'efforces tant bien que mal de te montrer forte, courageuse. Bien sûr, tu as souffert, comme n'importe qui, mais tu refuses de te laisser abattre, de te laisser submergée par la douleur de l'avoir perdue. Elle. Il faut apprendre à vivre sans cet ange qui avait su illuminée ta vie avant de te fuir comme une pestiférée, pour lui. Tu ne lui en voulais pas, non, tu es incapable de lui en vouloir. Tu t'en veux à toi de n'avoir pas su la garder pour toi, de n'avoir pas réussi à la capturer et l'enchaîner avec suffisamment de force à ton poignet. Maintenant qu'elle était partie, tu vivais chaque jour comme un hommage à sa beauté, tout en reconstruisant ta vie sur les cendres fumantes de ton amour perdu, de ton coeur brisé.
ton pseudo ∆ marie jolie. ton âge ∆ bientôt 19 ans, damn it. un petit mot ∆ vous dire à quel point je vous aime ? sales gueuses, je tuerais pour vous, pour vos plumes et vos âmes.
feat ginta lapina.
la petite histoire
Celle-là n'a pu dire je t'aime à ton ivresse à bon marché, Arrête un peu de me jurer qu'elle fut tienne car n'est pas à courte paille que les anges font merveille
J'ai une passion dans la vie. Non, pas mes livres, pas mes tableaux ou ma musique. Non, je n'ai qu'une passion dans la vie, et elle porte ton nom, elle a ton visage. Elle a la couleur de tes cheveux, la couleur de tes yeux, la douceur de ta peau. Quand elle me regarde, c'est toi que je vois, que je veux. Quand elle me regarde, je retrouve ton rire, tes larmes, et tes sourires doux-amer, quand tu pensais à quelqu'un d'autre qu'à moi. Quand je la regarde, ce sont nos souvenirs qui me reviennent, les tiens, les miens, les nôtres, ceux de notre vie passée, ceux de nos réveils, de nos couchers. Et tu te souviens, comme tu aimais ça, quand je promenais mes doigts sur ton visage, quand je passais mes doigts dans tes cheveux, qu'ils se prenaient dans les noeuds complexes de nos sentiments. Tu te rappelles comme je t'aimais, combien je t'aimais. Aujourd'hui, tu es morte à mon coeur, mais tu vis encore, à travers lui.
T'avais des rêves, t'avais des espoirs, des envies. Elle a tout pris. Tout embarqué. Tout. Dans ses mains, dans son coeur, dans sa tête. Tout. Tout pris, quand elle est partie, quand elle t'a laissée sur le carreau, pour morte, après t'avoir tiré une balle en pleine poitrine. Pas au sens propre, non. Dylan est trop pure pour ça. Trop propre, trop ange. C'est vrai, elle ne ferait jamais ça. C'est toi, toi toute seule, pauvre conne, qui t'es fait ça, à toi. A ce corps en charpie que tu hais depuis la nuit des temps, depuis le fond des âges, pour ne pas lui suffire, pour ne pas la retenir à tes côtés. Non, Dylan, c'est vrai, elle n'a pas eu besoin de te tirer dessus, ni même de te frapper, pour te rendre aussi humaine qu'un tas de poussière sous la commode de la chambre d'amis. Elle a juste eu besoin de dire que c'était fini, qu'elle aimait ailleurs, quelqu'un d'autre, un autre visage, un autre nom. Elle te l'a dit, et puis elle est partie. Elle n'est jamais vraiment revenue.
Y avait juste son fantôme, un revenant avec la gueule de Dylan, mais qu'était pas Dylan. Il traînait partout, sur le canapé, assis en tailleur sur la table de la cuisine, étiré de tout son long dans votre lit. Tes doigts s'emmêlaient à ses cheveux, mais tu savais que c'était ceux de Dylan, et tu chialais bruyamment, comme une gosse à qui on a arraché son doudou. T'arrivais plus à dormir, mangeait juste assez pour pas crever, ton esprit déraillait nuit et jour, perdu dans les limbes, perdu dans les souvenirs de Dylan. T'avais eu une tellement belle vie jusqu'à maintenant, avec elle, que tu t'reconnaissais plus dans le miroir. Terne. Fade. Sans saveur. T'avais tout des squelettes ambulants que tu croisais sur le chemin de la fac, des moitiés d'hommes et de femmes broyés par la vie. Mais t'étais pas encore tout à fait eux. Il te restait encore un morceau d'étincelle, un truc qui te maintenait la tête hors de l'eau. L'espoir qu'un jour elle serait là, à nouveau.
Puis c'était arrivé. Ce moment bénit où elle était apparue, trempée, son beau visage émacié, un début de cicatrice lui barrait la joue. Elle était toujours aussi belle, t'avais cru renaître en la voyant, ton Eden, ton morceau de paradis, ta fontaine de jouvence. Elle était là, elle pleurait sur cet amour raté qu'elle avait tant désiré, et qui l'avait juste mise au tapis, ta Dylan, ta belle Dylan. Ta jolie poupée. T'avais un sentiment bizarre au fond de la gorge, la joie mauvaise de savoir qu'elle te revenait, qu'elle retournerait jamais avec ce salopard. Mais c'était pas vrai. C'était qu'un mensonge, et tu l'savais. Tu l'savais, qu'elle finirait par y revenir. Qu'elle finirait par se lasser à nouveau de toi, qu'elle partirait encore. T'avais juste pas prévu qu'en partant, elle retournerait pas le voir lui. T'avais pas prévu qu'elle quitterait carrément la ville, écrasant de son joli pied le morceau d'étincelle qui restait au fond de toi.
Après son départ, t'étais morte. Vidée, éviscérée, incinérée, mise en bière, six pieds sous terre. Tu traînais ton propre cadavre partout dans l'appartement qui avait abrité vos jours heureux. Chaque jour qui passait amenait avec lui son lot de larmes, de cris, à tel point que t'avais fini complètement desséchée, déshydratée. T'arrivais pas à te sortir de ta traversée du désert. Tu voyais jamais le bout du tunnel, et tu te voyais déjà pourrir ici, dans ce temple dédié à Dylan. T'étais tellement aveugle, repliée tout entière sur ta propre douleur, que t'avais failli le manquer. Pas le voir, passer à côté de ce type, cette âme écorchée vive, plus que toi, si c'était possible. Silencieuse, tu disais rien, tu t'contentais d'l'observer du coin de l'oeil, abritée derrière ces immondes rideaux que Dylan t'avait imposé. T'savais rien de lui, juste son visage vide, ses yeux fous et son allure de paumé. T'savais juste qu'il te rappelait toi.
Il avait ce côté animal sauvage, trop massacré par la vie pour supporter qu'on s'approche de lui, pour accepter l'idée qu'on puisse désirer sa compagnie, qu'on veuille le côtoyer. Tu rêvais d'lui, des fois, il prenait la forme d'un loup, seuls ses yeux subsistaient de lui. Il était beau, comme ça, tellement loin de l'humain qui traînait devant ton appart', te faisait un peu peur, même. Dans tes rêves, t'avais envie de tendre la main vers lui, de passer des doigts dans sa fourrure, dans la masse douce autour de son cou. Tu voulais retrouver une sensation qu't'avais perdue en même temps qu'Dylan, qui te manquait aussi désespérément qu'elle. La chaleur humaine, celle qui te gardait vivante. Celle dont t'avais besoin. Tu voulais pas l'approcher, ce type, mais tu savais que t'allais avoir besoin de lui, à un moment ou à un autre. Pour arrêter d'être morte.
Dernière édition par Z.-Faust S. Lancaster le Dim 29 Déc - 19:37, édité 5 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:28
Bonsoir à toi jolie blonde. J'adore ton choix d'avatar et de pseudo Bienvenue et bon courage pour ta fiche
Luna Bellaqua
◭ messages : 134 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:29
Riley Breckenridge a écrit:
Bonsoir à toi jolie blonde. J'adore ton choix d'avatar et de pseudo Bienvenue et bon courage pour ta fiche
+1, parce que Ginta est merveilleuse et que ce pseudo lui va vraiment bien Bienvenue ici
Braam Jagaciak
◭ messages : 134 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:34
bienvenuuuue. ton avatar et ton pseudo & ton titre
Rhett Hawtorn
◭ messages : 58 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:36
je t'aime. (tout en sobriété.)
alistair z. cunningham
◭ messages : 257 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:39
je te souhaiterais la bienvenue quand quinn sera là.
jotem.
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 21:42
Nomdidiou, mais vous êtes tous tellement beaux ! ça m'fait tout chaud à mon p'tit coeur d’artichaut !
mon amour t'as vu ? y a un double fuck c'trop bien, on va s'amuser (et moi aussi je t'aime, je pense aux dates, t'inquiètes.
eulastair moi aussi j'te proute et jetetemtossi
wolfgang l. snicket
◭ messages : 113 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 22:17
Tu sais quoi ? Prends ton temps avec ce personnage. Joue Faust à fond et pour Quinn tu l'oublies et la jettes à la poubelle, qu'en dis-tu ?
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 22:33
Ahah, tu sais ce qu'on va faire ? Je vais lancer Faust, comme il faut, et Quinn arrivera bien assez vite, ne t'inquiètes pas. Pendant ce temps là, tu me gardes la place près d'Alistair au chaud, mais pas trop
alistair z. cunningham
◭ messages : 257 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 22:38
commencez pas les filles.
enfin, si commencez, je regarde
/sort le pop corn.
Kaedan Walsh
◭ messages : 65 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 22:52
mariiiiiiiiiiiiiiie t'es bonne t'sais j't'aime
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:02
/donnee des coups de parapluie à eulastair. Oh, vos gueule, toi !
AMÉLIE J'TE BAISE ! T'es bonne aussi, c'dingue J'adore la tête de Lucas (eula', on a retrouvé qui je baise o/)
Kaedan Walsh
◭ messages : 65 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:03
J'TE BAISE AUSSI. on est toujours bonnes t'façon il a trop une bouille énorme hein (tu cherchais qui tu baisais ? mais tu baises tout le monde )
Sheena T. Jackson
◭ messages : 1772 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:06
Marie ? Marie qui jouait Orphée ?
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:09
T'as raison, j'baise tout le monde moi d'abord
Ouais, Marie qui jouait Orphée ! T'sais que te revoir ici, en plus d'Edwin, mondieucémal, mais j'ai pensé refaire Orphée Mais sans Ziggy... je peux toujours la faire en scénar', mais sans Ziggy/Kitty, ça n'a pas la même saveur.
Sheena T. Jackson
◭ messages : 1772 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:11
Ohhh ma poulette, tu viens de me briser le coeur là. Comment l'idée m'aurait trop, trop, trop charmée...
Toutefois, je suis heureuse de te retrouver. J'arrive sur la CB...
Lon Lockhart
jillian — perfection has a name
◭ messages : 1267 ◭ arrivé(e) le : 22/11/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Sam 28 Déc - 23:37
tu fais TELLEMENT bien de reprendre ginta bon retour chez tooooooi !
Floyd Parker
◭ messages : 179 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 7:16
ginta + le pseudo :bienvenue
wolfgang l. snicket
◭ messages : 113 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 10:37
Z.-Faust S. Lancaster a écrit:
Ahah, tu sais ce qu'on va faire ? Je vais lancer Faust, comme il faut, et Quinn arrivera bien assez vite, ne t'inquiètes pas. Pendant ce temps là, tu me gardes la place près d'Alistair au chaud, mais pas trop
Ne t'inquiète pas, je ne laisserai personne l'approcher de trop près, il est à moi de toute façon
alistair z. cunningham a écrit:
commencez pas les filles.
enfin, si commencez, je regarde
/sort le pop corn.
Tu risque de ne pas apprécier le spectacle bien longtemps
alistair z. cunningham
◭ messages : 257 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 11:10
Je suis. Un ange. Moi.
Et puis, il me semble que Quinn est pas là. Vient Wolfie
J. Alix O'donnel
bye bye, blackbird.
◭ messages : 1663 ◭ arrivé(e) le : 26/08/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 14:01
eukey, alors marie c'est la nana qui me vole mon lon, et qui en plus de ça veut me voler sheena quoi, t'as pas fini de ruiner tous mes espoirs et TOUTE MA VIE ?!!! Bon, prends ton temps pour lancer la Faust (seule personne avec qui je pourrais éventuellement avoir un lien pas trop négatif -et encore ), et ne revient jamais, JAMAIS avec quinn. Eukey, on s'est bien entendu ?
Sinon, t'es bonne.
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 14:20
'tain, c'est vrai que pour l'instant, j'te pique pas trop tes hommes -bas les pattes quand même avec rhett-, mais dès que quinn va débarquer, et si en plus je ramène orphée, t'auras du souci à te faire même si c'est clair qu'edwin/sheena, c'est le golden couple, donc orphée a peu de chance... et puis quinn et lon, c'est du passé ! (a) sinon, toi aussi t'es bonne, même si ça fait bizarre de plus voir astrid j'ai pas check si elle était prise ou non, elle irait bien pour la copine d'orphée, tu crois pas ?
J. Alix O'donnel
bye bye, blackbird.
◭ messages : 1663 ◭ arrivé(e) le : 26/08/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 14:24
Je. te. déteste.
Aloe Kheez
◭ messages : 40 ◭ arrivé(e) le : 27/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 14:31
Ginta + le pseudo + le caractère = hihi bienvenue parmi nous
Z.-Faust S. Lancaster
◭ messages : 75 ◭ arrivé(e) le : 28/12/2013
Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust) Dim 29 Déc - 14:45
ah bon ? pourquoi ?
aloe, merci beaucoup
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Sujet: Re: aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust)
aux lumières de la ville déchu de ton regard. (faust)